La qualité, alliée de la rentabilité ?

Le 23/09/2020

Dans une entreprise, industrielle ou de n’importe quel autre secteur d’activité, la qualité est un enjeu majeur, à travailler et surveiller au quotidien. C’est d’autant plus vrai qu’elle constitue, aujourd’hui, un support de la rentabilité générale et de l’efficacité. Comment ? Pourquoi n’est-il plus possible d’opposer qualité et profitabilité ? Quel est le rôle des outils connectés dans ce nouveau paradigme ?

 

La non-qualité, une démarche coûteuse

 

C’est un fait, la démarche qualité implique des enjeux économiques de premier ordre. Il faut dire que son inverse, la non-qualité, est génératrice de coûts directs et indirects pour l’entreprise. La non-qualité peut, en effet, entraîner un blocage de l’activité (en raison d’une panne de machine par exemple), une perte de temps et d’argent (interventions, consommations supplémentaires de matières premières…), un mécontentement des clients (suite à un retard dans les livraisons, des problèmes de logistique…), ainsi qu’une surcharge de travail au sein des équipes.

Selon l’AFNOR, une bonne gestion de la qualité en entreprise permet de réaliser des économies, pouvant représenter une enveloppe de l’ordre de plus de 5% du chiffre d’affaires. Certaines études vont plus loin et, en englobant la totalité des coûts et des conséquences de la non-qualité, évoquent une fourchette de… 7 à 35% !

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[Guide] Comment digitaliser sa démarche qualité ?

 

La qualité est au centre de toutes les préoccupations des consommateurs, de plus en plus exigeants sur l’origine, la traçabilité et la transparence des produits qu’ils achètent !

 

Découvrez dans ce guide les enjeux et les avantages d’une démarche qualité moderne, ainsi que les fonctionnalités essentielles d’un système de management de la qualité performant.

 

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Les bienfaits de l’amélioration continue

 

Mettre en place une démarche qualité, ce n’est pas tout chambouler du jour au lendemain. Au contraire, c’est avant tout une affaire de patience !

 

L’amélioration continue va consister à apporter des changements réguliers et progressifs, basés sur des points de contrôle, ponctuels (une vérification d’un lot produit un jour particulier par exemple) ou continus (à partir de données issues de beacons notamment). Les retours clients peuvent, d’ailleurs, être intégrés à cette démarche : quoi de plus précieux que les retours des utilisateurs ?

 

En se lançant dans une démarche d’amélioration continue de sa qualité, il sera possible de démarrer une démarche pérenne de réduction des coûts de la non-qualité, notamment grâce à la digitalisation de l’entreprise.

 

L’objectif ? La maîtrise totale des processus de l’entreprise (au-delà des impondérables). Qu’ils concernent la fabrication des produits, le support ou la gestion des ressources. Le tout, bien sûr, en gardant à l’esprit les besoins et les attentes des clients.

 

Résultat ? C’est l’image de l’entreprise qui s’améliore et avec elle, la satisfaction des clients !

Le concurrent le plus redoutable est celui qui ne se préoccupe jamais de vous, mais qui améliore sans cesse sa propre affaire.

– Henry Ford, industriel „

Le rôle des outils connectés

 

En matière de qualité, les outils connectés occupent une place prépondérante et importante. Ils permettent, en effet, aux entreprises de manager et de piloter leur système qualité. Elles peuvent ainsi gérer les processus-clés (non-conformité, audits, actions correctives…) au sein d’un seul et même espace, et déléguer les tâches aux personnes les plus à mêmes de les réaliser.

 

Bref, en adoptant une solution de gestion des processus qualité, il est possible de répondre aux enjeux majeurs liés aux exigences réglementaires, de maîtriser les coûts et d’améliorer la satisfaction des clients !

– Quel est le coût de la non-qualité ?

 

Selon l’AFNOR, la non-qualité au sein d’une entreprise représente environ 5% du chiffre d’affaires. Certaines études vont plus loin et, en englobant la totalité des coûts et des conséquences de la non-qualité, évoquent une fourchette de… 7 à 35% !

 

– Pour améliorer la qualité, quels sont les leviers à actionner ?

 

Ils sont multiples ! Citons notamment, bien sûr, la fabrication des produits, les machines utilisées, le support, la gestion des ressources, les risques, les collaborateurs et la formation de ces derniers…

 

– Dans une entreprise digitalisée, avec qui peut travailler un service Qualité ?

 

Lorsqu’une entreprise a entamé sa transformation numérique, elle « casse les silos » opérationnels. Ainsi, un service Qualité peut travailler avec n’importe quel autre service, en interne (SAV, fabrication, relation client…) ou en externe !

 

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